Nous venons d'apprendre par voies des médias
étrangers les violences policières intervenues à la suite de
l'organisation d'un meeting démocratique par de l'Union Nationale en
collaboration avec les autres partis de l'opposition.
Ce meeting avait pour objectif l'appel à
une sortie de crise par la voie de la conférence nationale souveraine. Les militants de l'opposition voulaient donner des explications au peuple quant aux raisons et à l'opportunité de l'organisation de ce forum eu égard à la crise multiforme que traverse notre pays. Ce meeting étant le lieu pour édifier le peuple sur une alternative non violente pour accéder à une transition apaisée. Il n'était pas organisé pour se transformer en abattoir.
Fort d'une arrogance et d'une outrecuidance sans nom, le régime illégitime d'Ali Bongo Ondimba-PDG a usé d'une violence disportionnée pour dénier aux gabonais le droit de deviser et de se réunir pour les questions qui touchent notre pays.
Fort d'une arrogance et d'une outrecuidance sans nom, le régime illégitime d'Ali Bongo Ondimba-PDG a usé d'une violence disportionnée pour dénier aux gabonais le droit de deviser et de se réunir pour les questions qui touchent notre pays.
L'Union du peuple Gabonais condamne avec la
dernière énergie les actes de violence et de barbarie orchestrés
par le régime illégitime d'Ali Bongo Ondimba-PDG.Ces actes, antidémocratiques et primitifs
d'un autre temps, sont les seuls réponses du dictateur qui, faute de
n'avoir pas conquis l'assentiment du peuple, se livre aux
violations des droits de l'homme par une barbarie et une violence des plus répréhensibles.
Depuis le coup d'Etat de septembre 2009, les seules réponses gouvernementales au désastre économique et social d'un Etat érigé en système criminel intégré, sont l'instrumentalisation de la justice, la destruction des locaux de la presse libre, la criminalisation des manifestations sociales et politiques en lieux et places d'un véritable débat pour mettre en place des leviers institutionnels d'une véritable démocratie.
Mesdames et Messieurs
Les forces armées gabonaises et l'ensemble des corps habillés du Gabon sont une composante du peuple gabonais. Leurs éléments vivent, comme tout gabonais, les affres et les misères imposés par la dictature du régime Bongo-PDG. Ils sont en plus victimes d'un odieux chantage du ventre: si tu n'obéit pas tu es viré, si tu ne tire pas tu es viré, si tu ne tue pas tu es viré.
L'UPG rappel à ces compatriotes vêtus d'uniformes qu'ils constituent l'arme du peuple, le bras armé du peuple, par conséquent, ils ne peuvent réprimer le peuple. Ils ont le devoir de protéger le peuple contre un gouvernement illégitime, corrompu et incompétent et non de protéger un dictateur contre le peuple.
Dans une république les forces de l'ordre sont au service de la République au devant de laquelle se trouve le peuple. Elles constituent son moyen de défense. Il est inacceptable que le pouvoir instrumente la force publique pour agresser voir assassiner des citoyens qu'elle est sensé protéger.
L'UPG rappel que la constitution gabonaise, bien que remaniée au gré de la dictature, a fait sien des préceptes et des principes de la déclaration universelle des droits de l'homme. On ne saurait accepter que, chaque fois que les citoyens gabonais veulent revendiquer leurs droits les plus élémentaires ils sont victimes des pires exactions.
L'UPG rappel à ces compatriotes vêtus d'uniformes qu'ils constituent l'arme du peuple, le bras armé du peuple, par conséquent, ils ne peuvent réprimer le peuple. Ils ont le devoir de protéger le peuple contre un gouvernement illégitime, corrompu et incompétent et non de protéger un dictateur contre le peuple.
Dans une république les forces de l'ordre sont au service de la République au devant de laquelle se trouve le peuple. Elles constituent son moyen de défense. Il est inacceptable que le pouvoir instrumente la force publique pour agresser voir assassiner des citoyens qu'elle est sensé protéger.
L'UPG rappel que la constitution gabonaise, bien que remaniée au gré de la dictature, a fait sien des préceptes et des principes de la déclaration universelle des droits de l'homme. On ne saurait accepter que, chaque fois que les citoyens gabonais veulent revendiquer leurs droits les plus élémentaires ils sont victimes des pires exactions.
Il a été dit
que celui qui tue par l'épée moura par l'épée. Le sang versé
inutilement est une monnaie d'échange qui servira à l'achat de
notre propre sang.
L'Union du peuple Gabonais, met en garde le
pouvoir quant aux massacres et violences intervenus ce jour du 15
août 2012 dans un quartier de Libreville et informe le régime que
ces massacres s'ajouteront à son passif déjà très lourd. Les membres de ce régime rendront des comptes devant le tribunal du peuple qui les jugera pour crime contre le peuple gabonais.
Nous souhaitons
nos condoléances aux familles des trois victimes ( Nontshe
Arlette, Ngouanda Elizabeth, Charly Atome Emane) qui ont rejoint la
liste des martyres de notre pays.
Nous partageons aussi notre sympathie à tous les blessés et ceux qui ont été brutalisés.
Nous partageons aussi notre sympathie à tous les blessés et ceux qui ont été brutalisés.
Le peuple Gabonais reconnaît votre courage et le souci que vous avez fait montre en défiant les forces de l'ordre corrompues du gouvernement illégitime des mappannes dont l'objectif est de servir Ali Bongo Ondimba, Ndoungou et le PDG.
Peuple
Gabonais, les violences de 2009 à Port-Gentil et les violences de
Libreville sur les leaders de l'opposition sont des actes ignominieux caractéristiques du régime d'Ali Bongo Ondimba-PDG. Ces actes, pour ceux qui en doutent encore, démontrent que c'est un
régime sanguinaire avec un exercice du pouvoir dans le sens le plus négatif
et le plus abject.
L'UPG loyaliste lance un vif appel aux
Gabonais aux fins qu'ils ne se laissent pas intimider. Ils ne doivent pas reculer devant l'imposture mais plutôt de lutter pour la libération de notre pays.
Si cela s'est passé dans d'autres cieux, cela se passera dans notre
pays.
Cette libération est imminente si nous nous y mettons tous pour imposer la Conférence Nationale Souveraine à ce régime illégitime.
Cette libération est imminente si nous nous y mettons tous pour imposer la Conférence Nationale Souveraine à ce régime illégitime.
Chers compatriotes le régime Ali Bongo Ondimba-PDG flirte avec son terme après son désaveux des législatives de décembre 2011. Faute d'être capable de trouver des solutions à la crise qui paralyse le Gabon depuis son émergence par coup d'Etat en septembre 2009, ce régime vendu, par machiavélisme, notre pays à un groupe d'étrangers qui confisque et hypothèque la vie des gabonais.
Nous adressons
un message final au régime illégitime d'Ali Bongo Ondimba :
UPG Diaspora
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