samedi 26 janvier 2013

Les dix méthodes pour enlever ou renverser un dictateur comme Ali Bongo du pouvoir


     Ali Bongo et son gouvernement des mapannes dit: ''gouvernement fantome'' qui ne gere rien

Pour déstabiliser Ali Bongo Ondimba et l’enlever du pouvoir qu'il a volé à travers les mensonges, la ruse, la fraude et le meurtre de notre peuple, la résistance pacifique suffit-elle ou la force est le seul moyen d’y parvenir?
Quelque soit ses racines, une dictature finie toujours par tombee
 
Enlever ou renverser Ali Bongo Ondimba n’est plus une question à débattre mais plutôt une chose à faire. Le monopole de cette action ne revient plus à un seul leader d’un parti de l’opposition ou un quelconque leader gabonais. Qu’ils se nomment :  André Mba Obame, d’ Ogouliguende, David Mbadinga de l’Union du peuple Gabonais Loyalistes. Cela n’est pas aussi la seule responsabilité des leaders de la diaspora comme : Andre Bouassa, Daniel Mengara , Jean Nduanis, Bruno Ella Nguema, Guitsutsu, Telesphore Obame Ngomo, Patrick Ambamany, Henry Omva, Jean Aime Mouketou etc. C’est une affaire de tous, une responsabilité  individuelle d’une part et d’autre part, une responsabilité collective. Au vu des dégâts que le système Bongo-PDG cause, renverser Ali Bongo Ondimba du pouvoir devient même une responsabilité morale.
 L’urgence d’une créativité s’impose et l’expertise de tous est nécessaire. C’est le temps de mettre tous les moyens en place. Alors, quels sont les moyens que nous pouvons utiliser pour nous débarrasser d’Ali Bongo Ondimba et libérer le pays de près de 50 ans de captivité par le système criminel intégré ‘’Bongo-PDG’’ ?
Souvenons-nous et ne soyons pas naïfs : aucune dictature en Afrique ne peut être éliminée ou enlevée par des moyens pacifiques, encore moins celle des Bongo-PDG.
Tous les dictateurs sont enlevés par la «force» ou par la « pression » interne (nationale) ou externe (internationale).
Rappelons-nous qu’un dictateur est un homme qui s’attribue des pouvoirs exclusifs et absolus ... et il dicte « le peuple à se taire, à l’écouter et à  le suivre, il a perdu tout bon sens » la politique, alors il va utiliser son pouvoir pour écraser toute résistance pacifique contre lui. C’est à cela qu’Ali Bongo Ondimba s’adonne aujourd’hui. Nous l'avons vu dans le printemps arabe, jusqu'à ce que la force du peuple s’impose. Je dis et j’insiste : aucun dictateur n’a quitté son poste pacifiquement. Tout système qui écrase toute résistance à toujours malheureusement payé double de ses crimes.
Ce dictateur finit par être lunché ou exécuté par le peuple sous prétexte de vengeance. Quand un dictateur ne comprend pas le peuple et devient le bourreau de son peuple comme le fait Ali Bongo sans le réaliser, ce même peuple deviendra son bourreau et le traitera sans compassion. Parmi ce peuple se trouveront certaines personnes qui ont mangés sur la même table que lui.
Dans le cadre de la pression internationale, l’Organisation des Nations Unies est supposée être la pression externe la plus importante pour aider les dictateurs que nous avons entre nos mains à quitter le pouvoir, mais en ce moment où est l'ONU ?
Elle qui toujours emploie nos forces armées en tant que gardiennes de la paix ou utilise ces mêmes dictateurs comme Ali Bongo dans la résolution des conflits dans nos régions. Nous devons mettre en doute l'intégrité de l'ONU dans ce volet en raison de ses doubles standards. Mettre aussi dans le même sac l’Organisation de l’Union Africaine que dirigeait Jean Ping. En demandant  à Ali Bongo d’être au centre des négociations du conflit Centrafricain, l’ONU et l’Union Africaine se mettent dans une position ridicule. Le monde entier connait qu’Ali mérite un sort plus sévère que celui deFrançois Bozizé imposé par la  Seleka.
Tout ce que nous avons en ce moment en tant que Nation souveraine, c'est notre citoyenneté, notre fierté, la fierté dont a laissé Léon Mba quand il parlait de ‘’ Gabon d’abord’’. Ce n'est pas le moment pour n'importe quelle résistance ou n’importe quelles rencontres avec Ali Bongo. Une résistance légère fait le lit de ce système criminel intégré  qu’est  Ali Bongo Ondimba-PDG. Toute réunion avec celui-ci n’est que légitimation  et pérennisation de son pouvoir. Ali se moque de l’opposition gabonaise et des gabonais en fabriquant des réunions sans tète ni queue. Il pense tromper la vigilance de l’opinion nationale et internationale. Maintenant qu’il veut organiser les élections locales, il a décidé de vouloir conduire encore l’opposition gabonaise a l’abattoir. Cette opposition est-elle consciente encore ?
C’est une sorte de complicité que d’aller s’assoir avec Ali et son gang sous un prétexte de biométrie ou des dossiers sur la sous-région. Quel que soit le meilleur système biométrique mis en place, Ali ne quittera jamais le pouvoir même s’il est battu à plate couture. L’heure est venue de se radicaliser et de se désolidariser du pouvoir criminel intégré, pouvoir spécialisé dans la corruption, le détournement des deniers publiques, les biens mal acquis, l’ingéniosité  dans les crimes rituels et aussi dans la criminalité démocratique.
Les dix méthodes qui permettent de se débarrasser des dictateurs comme Ali Bongo Ondimba avec des exemples précis, une de ces méthodes sera appliquée tôt ou tard à Ali Bongo et ses proches par les gabonais :
                 Le sort d'Ali Bongo Ondimba est lié a celui de ces gens sur cette photo
1. Le peuple a souvent renversé les dictateurs (par des agences ou organismes étrangers). Ces dictateurs sont mis hors du pouvoir avec leurs familles et sont envoyés en dehors du pays - par exemple, le shah d'Iran, Marcos des Philippines.
2. Organiser une révolution violente et tuer le dictateur - par exemple, Ceausescu en Roumanie.
3. Enlever le dictateur par des moyens légaux tels que les élections, mais lui permettre de rester dans le pays. il y a un grand risque qu’il revienne aux affaires et cherche à se venger - par exemple, Daniel Ortega du Nicaragua.
4. Les puissances étrangères (jusque-là qui maintiennent le dictateur) forcent le dictateur à l’exil sans intervention de l'armée - par exemple, Matyas Rákosi de la Hongrie a été exilé par les Soviétiques au Kirghizistan en 1970 « pour soi-disant raisons médicales".
5. Les puissances étrangères rentrent dans le pays en complicité avec les locaux (ces mêmes puissances qui ont maintenu ces mêmes dictateurs) et renversent le dictateur - par exemple, Saddam Hussein de l'Irak ou de Manuel Noriega du Panamá.
6. Le dictateur se tue dans un acte de désespoir - par exemple, Hitler en 1945.
7. Le dictateur est assassiné par ses proches - par exemple, Jules César de Rome en 44 après JC a été poignardé par 60-70 personnes (une seule blessure était mortelle) ou Laurent Désiré Kabila de la RDC.
8. Organiser des grèves et des troubles pour paralyser le pays et convaincre même l'armée de ne pas soutenir le dictateur - par exemple, Jorge Castañeda y Ubico a été évincé au Guatemala en 1944, Moubarak d’Égypte a subi le même sort.
9. Une interdiction de revenir au pays après un voyage du dictateur-par exemple le président Enrique Ortez. Zelaya de Honduras .
10. Une rébellion militaire à partir de la capitale ou d’une région du pays- l’exemple centrafricain et de plusieurs pays africains.
                       Ali doit eviter aux Gabonais de ressembler a ce type de la rebellion




                                                  Auteur :  Andre Bouassa

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